Corse-Matin - Mardi 25 janvier 2000

Culletivu di difesa di l'arrestati Miot

 

Réunion publique de travail le 12 février 2000 à Corte

Le CDAM (Culletivudi di difesa di l'Arristati Miot)a poursuivi son action , en réunissant un g ra n d "nombre de représentants des forces vives insulaires, un responsable de l'Unione Corsa d'Antibes avait fait aussi le déplacement, le samedi 8 janvier l'université de Corse, à Corte.

Reçus chaleureusement par le président M. Jacques Henri Balbi, les participants au rang desquels on comptait notamment, à titre d'observateur, le président du Conseil économique , social et culturel de Corse ainsi que de très nombreuses personnalités, ont procédé à de larges échanges de vue sur la situation de la Corse échanges de qualité qui ont démontré le vif intérêt que l'île porte à la recherche d'une solution définitive de , son problème dont la globalité est manifeste tant est évidente l'interdépendance de sujets comme les institutions, l'Union Européenne, le développement économique et social, l'identité, les problèmes de société, etc.

De plus, les participants ont souhaité voir mettre un terme . à certaines tracasseries persistantes et à la coercition , inutilement vexatoires et irritantes, dès lors que nul ne conteste la nécessaire, mais sereine application de la loi.

Des contributions sur les différents sujets sont en cours d'élaboration et après un travail de synthèse, une nouvelle réunion publique de travail se tiendra à l'université de Corse, le samedi12 février, à 14 h 30.

L'ordre du jour comprendra essentiellement les institutions de la Corse, le rapport à l'Europe, l'économie de la Corse et ses outils dont fa fiscalité de développement et patrimoniale (arrêtés Miot).

L'objectif est ainsi de répondre à nouveau, mais ici de façon concrète, à l'invitation au dialogue du Premier ministre et de préparer, à son intention notamment une note de synthèse résumant l'essentiel de nos analyses et de nos propositions.

Telle sera la contribution du CDAM à l'indispensable débat général auquel toutes les organisations sans exception, toutes les femmes et les hommes de notre pays, sans oublier la diaspora, ont le devoir de participer l'occasion peut-être historique.

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