Réunion publique
de travail le 12 février 2000 à Corte
Le CDAM (Culletivudi di difesa
di l'Arristati Miot)a poursuivi son action , en réunissant
un g ra n d "nombre de représentants des forces vives insulaires,
un responsable de l'Unione Corsa d'Antibes avait fait aussi
le déplacement, le samedi 8 janvier l'université de Corse,
à Corte.
Reçus chaleureusement par
le président M. Jacques Henri Balbi, les participants au
rang desquels on comptait notamment, à titre d'observateur,
le président du Conseil économique , social et culturel
de Corse ainsi que de très nombreuses personnalités, ont
procédé à de larges échanges de vue sur la situation de
la Corse échanges de qualité qui ont démontré le vif intérêt
que l'île porte à la recherche d'une solution définitive
de , son problème dont la globalité est manifeste tant est
évidente l'interdépendance de sujets comme les institutions,
l'Union Européenne, le développement économique et social,
l'identité, les problèmes de société, etc.
De plus, les participants
ont souhaité voir mettre un terme . à certaines tracasseries
persistantes et à la coercition , inutilement vexatoires
et irritantes, dès lors que nul ne conteste la nécessaire,
mais sereine application de la loi.
Des contributions sur les
différents sujets sont en cours d'élaboration et après un
travail de synthèse, une nouvelle réunion publique de travail
se tiendra à l'université de Corse, le samedi12 février,
à 14 h 30.
L'ordre du jour comprendra
essentiellement les institutions de la Corse, le rapport
à l'Europe, l'économie de la Corse et ses outils dont fa
fiscalité de développement et patrimoniale (arrêtés Miot).
L'objectif est ainsi de répondre
à nouveau, mais ici de façon concrète, à l'invitation au
dialogue du Premier ministre et de préparer, à son intention
notamment une note de synthèse résumant l'essentiel de nos
analyses et de nos propositions.
Telle sera la contribution
du CDAM à l'indispensable débat général auquel toutes les
organisations sans exception, toutes les femmes et les hommes
de notre pays, sans oublier la diaspora, ont le devoir de
participer l'occasion peut-être historique. |